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Je suis ton GPS

“Noooonn ! Ne me dis pas que cela m’arrive à moi ! Ce n’est pas possible… Comment est-ce possible ? Moi ? La crise du milieu de vie ??? Qui me tombe là comme ça sur la tête ! Et bim paf aïe !!! J’étais persuadé.e que j’étais immunisé.e contre ce genre de conneries, de clichés de magazines, de platitudes de l’humain lambda. Et bien non, m’y voici. Et bien dedans comme il faut !

Pourtant j’ai tout ce dont on pourrait rêver ! Les gens m’envient, et certains m’admirent. Je ne manque de rien. Pourquoi me semble-t-il alors que tout me manque ? Je me sens emprisonné.e, bloqué.e, épié.e. Comme une oppression constante là, au niveau de la poitrine. Cela ressemble à ça un burn out ? Une crise cardiaque ? Bordel… c’est le début de la fin…

Certes, je fais bonne figure et je souris. Jaune. Mais personne ne s’en rend compte. Est-ce que tout cela en valait vraiment le coup ? Oui. Enfin je crois. J’ai tellement appris. Mais il me semble que j’ai fait le tour de la question. Je ressens cette envie égoïste de passer à autre chose. Oui, égoïste. Penser à moi. Parce que je suis en train de me faner, de disparaître dans le néant du quotidien et de l’ordinaire.

Suis-moi, je suis déjà passée par là !

C’est une putain de bonne question ça ! À quoi est-ce que je veux servir ? Qu’est-ce que je veux faire ? C’est quoi mon rêve ? Voyager ? Peut-être… mais comment qu’on fait ? Je commence par quoi ? Je ne sais pas comment on fait moi pour changer de vie et vivre ses rêves !!! Je n’ai jamais fait. Je ne suis jamais allée en dehors des clous. Et cela fonctionne super bien de suivre les clous. Je dois suivre quoi maintenant ? Quelle route ? Quelle direction ?

Comme une envie de tout envoyer balader et de partir. Re-partir à zéro.

Mais je ne veux pas perdre tout ce que j’ai si durement acquis.

(Tu n’es pas obligé.e de perdre tout ce que tu as si durement acquis.)

“Suis ton cœur ! Sois toi-même !” Qu’ils disent. Et mon cul, c’est des brocolis !!! Bigre, j’en deviens cynique de ces idioties. C’est des idioties, hein ? Rassure-moi. Parce que si c’est le seul chemin, je ne suis pas sorti.e de l’auberge… Je n’entends rien, moi, là-dedans, dans mon “cœur”. Le salaud. Il est muet. Tout ce que j’entends c’est le brouhaha habituel du yaka-faucon. Les putains de clous. Et toutes ces petites voix qui me disent que je ne vaux rien, que je n’ai rien à apporter, que je ne sers à rien dans ce monde.

Foutaises ! Allez vous faire foutre, saletés de petites voix ! Moi, je sais que je vaux mieux que ça ! Je sais que j’ai des milliers de choses à apporter au monde ! Je ne sais pas encore quoi, mais je vais trouver ! À partir de maintenant, c’est tout ce qui m’importe. Je vais le faire ce foutu voyage.

Je vais le faire ce voyage à ma rencontre. Je vais me découvrir. Et découvrir le monde. Et les gens. Et m’ouvrir à toute cette beauté, tous ces possibles.

À moi la vie !

Je pars en voyage !

J’arrive !!!

Euh… C’est par où ???”


Viens, je te montre. Je suis déjà passée par là.
Viens, je suis ton GPS.

Si tu te reconnais dans ce monologue, tu es au bon endroit !

Et pourtant tu n’oses pas, tu as plein de bonnes excuses. Je sais. Je connais.

Comment ça tu n’as pas le temps ? Et tu penses que tu l’auras quand, ce temps ? Deux heures par semaine, c’est vraiment trop te demander ??? Taratata ! Tu as surtout peur, jeune Padawan. Peur de ne pas y arriver. Peur de ce que tu vas trouver derrière. C’est marrant, ils/elles ont toujours cette peur au début. Puis viens le soulagement de l’avoir fait… mais il faut le vivre pour le croire !

C’est tout un voyage. Ah ! La pourvoir d’attraction du voyage ! Voyage physique et intérieur.

Par contre, tu n’as pas totalement tord. Ton investissement va au-delà de deux heures par semaine. C’est tout ton être qui s’investit. Tu ne peux pas le faire en dilettante. Cela prendra le temps que cela prendra, tu n’es pas pressé.e. Mais aie bien conscience que tu vas investir en toi. Ton futur toi. Il faut que tu sois prêt.e. Tu vas partir en voyage. Au sens propre comme au sens figuré. Tu as toujours rêvé de partir où ?

Comment ça marche ?

Ensemble, nous allons créer l’espace où tu pourras enfin commencer à te poser les bonnes questions. Je dis bien commencer, hein ? Parce que ce n’est pas en un seul voyage que tu vas résoudre tous tes problèmes existentiels. On parle de voyage, pas de miracle ! Mais cela peut commencer par là. Le voyage comme amorce de changement, de reconnexion avec toi-même, un avant-goût de ce qui pourrait devenir. Qui sait où le chemin te mènera ?

Bonjour ! Je m’appelle Virginie, et je suis ton nouveau GPS !


Objectif
Partir à ta découverte.

Programme
Préparer un voyage seulement pour toi
et profiter de ce moment privilégié pour envisager la suite.


J’aime disparaître, pour enfin être. Personne pour me connaître. Un étranger a le droit d’être étrange, différent. Je suis qui je veux. Je suis qui je peux. Tous mes masques volent en éclat.

Et le monde est tellement beau !

Même le plus pauvre des pays possède d’immenses richesses, de merveilleuses choses indispensables au reste du monde.

Et la liberté.

Alors viens, je t’emmène. Prend rendez-vous, ça coûte gratuit ! (C’est une expression de ma sœur quand elle était petite. Ça doit faire au moins 35 ans que je me bidonne à chaque fois que je la dis !!!)

Sors de ta zone de confort et lance-toi, je te rattrape.

Concrètement, on se fait une première visio ensemble pour voir si cela colle entre nous et si je suis en mesure d’être ton GPS. Puis on décide de la fréquence et du nombre de rencontres virtuelles, et c’est parti pour l’aventure de ta vie !!! Ça y est, je m’emballe déjà à l’idée de te voir parcourir ton chemin, le débroussailler à coup de machette, étudier les cartes topographiques, affronter tous les dangers… passer le cap du comparatif de vols (ô sentiment d’invincibilité !).

Spoiler alert :
La peur ne s’en va jamais !

À tout de suite sur le chemin !